Début janvier, la CFE CGC a entrepris de contacter tous les députés
Car ce sont eux qui légifèrent et peuvent donner dans le débat public toute la place que nous souhaitons pour l’Afpa. L’accueil a été au-dessus de nos espérances. Comme vous le verrez dans les liens qui suivent, toutes tendances confondues, majorité présidentielle ou opposition, ils ont porté nos revendications devant la ministre du travail. Plusieurs questions écrites lui ont été adressées et comme le veulent les textes régissant l’Assemblée Nationale, la ministre sera obligée de répondre.
Les demandes portées par la CFE CGC Afpa auprès des députés sont simples à comprendre, et elles ouvrent le champ des possibles :
L’effacement des 172 millions d’euros de dette domaniale, indûment attribuées à l’Afpa au moment de sa transformation statutaire ;
L’amendement des ordonnances, texte législatif qui a constitué la « création d'un établissement public chargé de la formation professionnelle des adultes », et qui sont désormais déconnectées de la nouvelle réalité de l’activité de l’Afpa ;
La révision du COP de l’Afpa, qui à la différence de tous les autres EPIC, est établi sur des objectifs financiers sur ses 3 premiers critères.
Nous vous invitons à découvrir la plaquette communiquée aux députés, pour renforcer l’entretien et leur mémoire quant à l’Afpa.